Tournée

Spectacle créé le 31 janvier 2017 à l’Atelier Piotr Fomenko, Moscou

Au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis du 20 au 24 mai 2017

Autour du spectacle

- Au bord du plateau, rencontre avec l’équipe artistique le jeudi 11 mai après la représentation

- Samedi 13 mai à 15h. Rencontre avec Christophe Rauck, Jean-Pierre Thibaudat (journaliste, écrivain, proche de Piotr Fomenko et de ses comédiens) et Alexandre Louschik (comédien et metteur en scène russe) à propos de l'histoire de ce théâtre russe comparable aujourd'hui à la Comédie Française. L'Atelier-Théâtre Piotr Fomenko a été créé en juillet 1993, mais les Fomenki font remonter cette naissance au mois de juillet 1988, quand Piotr Fomenko (disparu en 2012) a constitué son groupe d'étudiants au sein du département de mise en scène du GITIS. Les élèves de cette promotion constituent l'épine dorsale de la troupe. Ce sont des comédiens que l'on découvrira dans Amphitryon. 
Entrée libre sur réservation au 03.20.14.24.24. ou accueil@theatredunord.fr

- Samedi 13 mai à 17h30. A l'issue de la rencontre avec Christophe Rauck et Jean-Pierre Thibaudat, découvrez les Lettres de Moscou. Haïla Hessou et Lucas Samain, les 2 élèves-auteurs de l'Ecole du Nord, ont entretenu une correspondance lors de leur voyage à Moscou dans le cadre d'un échange franco-russe avec le GITIS en novembre dernier. Ils vous proposent la lecture des lettres qu'ils ont échangées au fil des jours, au travers desquelles ils partagent leurs impressions sur cette ville hors-norme.
Entrée libre sur réservation au 03.20.14.24.24. ou accueil@theatredunord.fr

La presse en parle

> Feuilletez la revue de presse
(Libération, Médiapart, La voix du Nord...)

> Ecoutez le sujet de Muriel Pomponne sur RFI, en direct de Moscou
"Vous êtes formidables, je ne veux pas vous changer, mais moi non plus je ne peux pas changer alors rencontrons nous quelque part au milieu"

>  La Terrasse, le 24 avril 2017
"Christophe Rauck met en scène Amphitryon avec la troupe des Fomenkis. Une première pour tous : le metteur en scène découvre Molière et les Russes acceptent de se laisser diriger par un autre, après la mort du maître Fomenko, disparu en 2012."
Catherine Robert

> France Culture, le 30 avril 2017
L'émission - UNE SAISON au théâtre - de Joëlle Gayot est entièrement consacrée à "Amphitryon".

> La Voix du Nord, le 5 mai 2017
"Si ce n’est pas une première en France, ça y ressemble furieusement. Molière dans la langue de Tchekhov, joué en France par des comédiens russes – et quels comédiens : des stars chez eux à Moscou."
Jean-Marie Duhamel

> La Voix du Nord, le 6 mai 2017
"Acteurs au bel abattage, formidablement dirigés à l’image de l’hilarant Sosie (Karen Badalov), entre de Funès et Monsieur Hulot. Efficacité russe, élégance française, ou le contraire. Chapka bas."
Jean-Marie Duhamel

> Paris-Normandie, le 7 mai 2017
"Au Théâtre du Nord, un Molière version roulette russe joué par des comédiens moscovites"
Baptiste Becquart, Dépêche Afp

 > L'Humanité, le 8 mai 2017
"... cette pièce du répertoire français, rare sur les plateaux. Avec une distribution russe étonnante qui fait résonner en russe la langue de Molière si singulière."
Marie-José Sirach

> Scèneweb.fr, le 10 mai 2017
"Les cultures françaises et russes s’imbriquent dans cette mise en scène débridée. On joue à la roulette russe, on chante la Marseillaise. On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille."
Stéphane Capron

> Scèneweb.fr, le 12 mai 2017
"Ce sont des acteurs très joueurs et très curieux de la dramaturgie, quand la forme leur parait étrangère, ils n’hésitent pas à poser des questions. Ils se sont pliés à ce jeu et on a inventé tous ensemble."
Stéphane Capron

> Culturebox, le 13 mai 2017
"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère."
Anne Elizabeth Philibert

> 12/13 France 3, le 12 mai 2017
Christophe Rauck parle d'Amphitryon sur le plateau du 12-13 (9ème minute)

> Les Echos, le 16 mai 2017
"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants."
Philippe Chevilley

> La Croix, le 17 mai 2017
"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs."
Didier Méreuze